2016-44 ans sans toi (*)
Commentaires
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Ce roman dont je ne vous résumerai pas l’histoire bien sûr, où le style de Patrick est bien reconnaissable.
Quand vous commencez, vous avez du mal à lâcher le livre. Patrick a une imagination débordante.
C’est un touche à tout, musiques, scénariste, courts métrages, chansons, et même l’hypnose…
Patrick aime aussi les voyages et s’imprègne, observe, et enregistre…. Il mixe le tout et vous le ressert amplifié plus tard à la sauce Patrick Lagneau. Il y aura forcément d’autres romans pour le plus grand bonheur des lecteurs.
Pour en revenir à 44 ans, il me touche beaucoup personnellement bien sûr, car il parle de ma famille et des lieux, de mon village, et aussi d’Étretat.
Étretat, je m’y rends toutes les semaines pour y faire de la peinture et le survole régulièrement. C’est un site magnifique. Nous y avons fait l’avant-première de mon dernier court métrage dont Patrick m’avait fait les musiques, la chanson, trouvé une chanteuse etc. La musique dans un film, c’est comme le ciment dans une maison.
Patrick, bravo, continue à nous écrire des histoires !
Olivier -
J'ai accroché dès le début de l'histoire et ce, jusqu'à la fin. Le style est fluide, très agréable à lire. Les personnages sont très attachants. Le rythme de l'histoire et le suspens nous tiennent en haleine tout au long de la lecture. Le lecteur vit tout un panel d'émotions. Livre à lire absolument ! J'ai adoré ! Patrick Lagneau mériterait d'être très connu et publié dans une grande maison d'édition.
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J'ai dévoré ce livre et je n'aime pourtant pas toujours les policiers mais celui-là nous emmène à travers le monde... " encore entier ".
Malgré les flash back et le nombre de personnages assez conséquent, on suit très bien le déroulement de l'intrigue, à tel point que je n'ai absolument pas eu besoin de l'aide des dates mises en début de chapitre.
Le style est vivant quand nous sommes dans l'action et plus posé lorsque nous lisons les " souvenirs " du père.
Bref, j'ai passé un bon moment. -
Bonjour M Lagneau
Merci d'abord pour votre dédicace.
Je voulais vous dire que j'ai beaucoup aimé votre livre.
Votre écriture fluide appelle à ne plus lâcher l'histoire.
D'habitude je ne suis pas très adepte des flashbacks, car parfois on a du mal à retrouver le fil du récit. Mais là je dois dire que je n'ai eu aucun mal.
Merci pour ces magnifiques moments.
Dominique -
Le récit intitulé : 44 ans sans toi s’ouvre sur une scène d’assassinat qui se déroule en direct lors d’une émission de téléréalité. C’est le début prometteur d’un thriller qui s’apparente à un roman d’espionnage dont voici quelques fils conducteurs qu’il faudra démêler !
Le fil rouge des héros : Ray Miller et Bradley Miller sont réunis par un seul lien, le carnet des mémoires du père transmis à son fils par le biais d’un notaire. Document ultra confidentiel recherché par la CIA et surtout… une certaine Paterson, gorgone maléfique aux multiples visages qui rôde autour d’eux comme une guêpe aux dards mortifères, comme le fil noir de la filature.
Fils enchevêtrés du temps et de l’espace : aller et retour constant entre 2001, le présent de narration, et 1947, l’époque des heures troubles de la guerre, du souvenir, de la métamorphose… lorsque Ray Miller prend l’identité de Bill Wallace.
Voyage entre deux pays aux antipodes, les États-Unis et la France, pont jeté entre le lieu des âges révolus et celui des âges vécus.
Fils entrelacés des deux amants : Ray et Clémence, 44 ans séparés et enfin réunis au cœur d’Étretat.
L’imbroglio imaginé par l’auteur pour tenir son lecteur en haleine lève ses voiles un à un sur des vérités surprenantes, déroutantes, dérangeantes jusqu’au dénouement où il a recours à son incontournable fer-de-lance : le fantastique, support d’une réflexion sur l’épineuse actualité de notre monde. La dramaturgie et l’écriture parfaitement maîtrisées contribuent à la fluidité du récit et permettent la reconstitution d’un invraisemblable puzzle.
Les amateurs de suspense seront comblés ! -
Dès que l'on commence à lire la première page de ce livre, on ne peut plus s'arrêter. ... on le dévore .... aucun temps mort ... histoire alliant la réalité et la science fiction ! BRAVO !
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j'ai beaucoup aimé ce "44 ans sans toi", accrocheur d'entrée, rondement mené, qui sous certains airs de science fiction nous rappelle que la réalité n'est, hélas, jamais très loin. Ce roman se lit avec enthousiasme et donne aussi à réfléchir. Bravo.
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